Bonnes pratiques

Etape #2 avant de se lancer en TV : à quoi réfléchir pour bien choisir

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Se renseigner sur les saisonnalités

Nous sommes tous différents. Certains préfèrent l’été, d’autres l’automne, pour certains, c’est mai sinon rien, pour d’autres décembre et son ambiance. Côté annonceur, c’est pareil, certains investissent plus facilement en début d’année, d’autres pendant les vacances scolaires, d’autres encore pendant les fêtes de fin d’année… Bref, chaque annonceur, et, plus globalement, chaque secteur est différent.

Prenons 4 secteurs clefs en télévision qui sont clairement soumis aux saisonnalités : le secteur de la distribution, des établissements financiers/assurances, des services et du voyage/tourisme.

Le secteur de la distribution par exemple, investit majoritairement en octobre, novembre et décembre, et l’on peut supposer que ce soit lié aux fêtes de fin d’année et à la pression alors exercée en télévision. Les établissements financiers/assurances sont davantage intéressés par les mois d’août et de septembre, mois de la rentrée qui correspondent avec les installations les inscriptions… Les annonceurs TV du secteur des services préfèrent les mois de janvier et de février, peut-être car la nouvelle année est souvent synonyme de nouvelles résolutions et donc de signatures de nouveaux contrats pour les particuliers. Enfin, le secteur du voyage/tourisme connaît également un pic en janvier car c’est souvent pendant cette époque de grisaille et de déprime post-fête que l’on se projette le plus pour partir en vacances, et on a parfois l’argent nécessaire pour le faire (merci Papa Noël).

Certains de ces choix sont donc orientés en raison de l’activité, mais d’autres le sont pour des raisons budgétaires. Historiquement, les mois de janvier (après les fêtes donc les porte-monnaie sont vides) puis juillet et août (en pleines grandes vacances) sont les moins chers, alors que juin et septembre se placent souvent en tête de classement.

 

Sponsoring ou classique ?

Realytics ne se contente pas de mesurer et d’analyser les campagnes publicitaires traditionnelles, mais peut également vous faire part de son expertise sur vos campagnes de sponsoring. Rappelons que la campagne classique prend la forme d’un spot TV diffusé sur une chaîne entre des programmes, lorsqu’une campagne de sponsoring vise l’association marque-programme au sein même de ce dernier, lorsque la marque devient véritable sponsor de l’émission.

En effet, il est possible de mesurer l’impact des campagnes de parrainage de la même façon que celui d’une campagne classique, en KPIs – sans toutefois pouvoir les optimiser comme on peut le faire avec une campagne classique, du fait même du format et de son mode d’achat.

Nombreux sont les annonceurs qui font le choix d’investir dans le sponsoring pour des raisons budgétaires : les coûts sont bien moins élevés que sur une campagne classique, et, pour le même prix qu’une campagne classique, une campagne de sponsoring peut durer jusqu’au double du temps. Il est également plus facile de choisir le programme où placer votre campagne de sponsoring afin qu’il soit en adéquation avec votre cible. C’est justement ça que Realytics vous propose de mesurer : l’affinité de votre spot de sponsoring avec le programme TV dans lequel il est diffusé, vous permettant d’avoir une idée claire de l’audience réactive à votre message.

 

Zoom sur les investissements des e-commerçants

Dans le cadre de la campagne TV d’un primo-accédant, le choix entre classique et sponsoring peut toutefois apparaître bien plus clair et logique. En effet, une campagne de parrainage efficace implique d’avoir une notoriété déjà bien établie : comment en effet espérer toucher une audience avec un spot de 6 à 12 secondes – quand un spot classique dure en moyenne 20 secondes ?

Les e-commerçants favorisent généralement l’espace classique au parrainage (65% vs 15%), avec parfois des mix (20%) où espace classique et parrainage sont choisis quasiment égalitairement (43% pour le premier vs 57% pour le deuxième).

 

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